Comment t’as commencé le rap ?
Interview de “Foufa Flow” :
Personnellement, c’était vers 93, j’étais jeune et j’écrivais. C’était un peu de la poésie, et puis la musique a fait son entrée. Mais je veux surtout parler de la façon dont le groupe Darkside a commencé. Le nom the Darkside, ce n’est pas pour le côté sombre, c’est pour mettre en lumière les gens qui sont dans l’ombre. C’est une entente musicale entre Luxman et moi, Foufa Flow. On habite à 300 mètres l’un de l’autre, mais on ne se connaissait pas. Ce n’est qu’en 2020, quand on s’est rencontré, qu’on a commencé à bosser ensemble.
Ton moment dans le rap?
Je pourrais parler de concert, de scène, etc, mais même si c’est un peu cliché, mon moment dans le rap, c’est celui qu’il reste à écrire. J’ai vécu des bêtes de moment, mais je préfère me concentrer sur ce que l’on est en train de construire. On travaille sur notre deuxième EP. Mon moment dans le rap, il n’est pas encore écrit.
Doucement les Basses
Drag’, Boris ce sont des amis d’enfance, Drag’, c’est même plus que ça, c’est un pote. On vient des mêmes quartiers. La connexion avec Doucement les Basses, c’est ça, c’est aussi une connexion musicale. On a toujours été dans le son. Quand Drag’ suivait le Saïan, je n’étais pas très loin. On a collaboré à des projets ensemble. Doucement les Basses, c’est le son et c’est le quartier.
Ton actu
On a sorti notre premier EP Prémisses, en février dernier. Il est disponible sur toutes les plateformes. Et on est de retour en studio. On charbonne.
Propos recueillis par Léo Du Bronx.