Comment t’as commencé le rap ?
C’était vers 93, j’étais jeune et j’écrivais. C’était un peu de la poésie, et puis la musique a fait son entrée. Ces dernières années, j’ai créé le groupe Darkside, une collaboration musicale avec Luxman. Le nom the Darkside, ce n’est pas pour le côté sombre, c’est pour mettre en lumière les gens qui sont dans l’ombre.
Ton moment dans le rap?
Je pourrais parler de concerts, de scènes, etc, mais même si c’est un peu cliché, mon moment dans le rap, c’est celui qu’il reste à écrire. J’ai vécu des bêtes de moment, mais je préfère me concentrer sur ce que je suis en train de construire. Mon moment dans le rap, il n’est pas encore écrit.
Doucement les Basses
Drag, Boris ce sont des amis d’enfance, Drag, c’est même plus que ça, c’est un pote. On vient des mêmes quartiers. La connexion avec Doucement les Basses, c’est ça, c’est aussi une connexion musicale. On a toujours été dans le son. Quand Drag suivait le Saïan, je n’étais pas très loin. On a collaboré à des projets ensemble. Doucement les Basses, c’est le son et c’est le quartier.