Comment as tu commencé le Rap ?
J’ai commencé le rap en 2006 suite au décès de mon paternel au début comme la plupart des gens de ma génération, puis je prenais ça de plus en plus au sérieux une fois à Abidjan là où je l’ai perfectionner puis petit à petit j’y ai pris goût. C’était ma façon à moi de m’exprimer, j’ai grandi avec du rap et de la musique ivoirienne depuis petit. C’est ce qui m’a amené jusque là musicalement parlant et j’en suis fier. Le but est de faire passer son message et je pense bien le faire à ma manière.
Ton moment dans le rap?
Je pense mes premiers OPEN MIC, mes premières prestations devant un public. Cette sensation de partage et de plaisir, d’échange et de complicité avec la foule c’est ce qui m’anime le plus dans l’univers de la musique. Je pourrais aussi te dire mes productions indépendante en studio car le fait de se faire tout seul dans la musique et y arriver on le sait que c’est pas facile. Il faut de la patience de l’énergie à revendre et surtout de la discipline.
Doucement les basses ?
J’ai validé le concept en regardant les vidéos de différents artistes dont celle de ZESAU qui m’avait interpellé j’avais validé sa performance. Ou celle de El deterr que j’avais par le passé souvent croisé en OPEN MIC, big up à lui. Force à vous et merci de m’avoir bien reçu « Doucement les Basses »
Ton actualité ?
« POLAAR » mon projet de 18 titres est totalement disponible sur toute les plateformes de streaming.
