Comment t’as commencé le rap ?
J’ai rappé parce que j’avais un frère qui rappait. Et je me suis inspiré de mes deux cultures, celle de la banlieue française, Les Ulis, et la cuture US où j’ai vécu, à Philadelphie, où je m’occupais de rappeurs, de groupes de rap.
Un moment dans le rap ?
J’en ai plein des moments dans le rap. J’en ai des joyeux comme les premières parties que j’ai assurées de rappeur américain. Pitbull à Nice, Lil Bo Wow et French Montana à Paris au Bataclan. Il y a eu des moments plus tragiques, plus noirs, la mort violente d’un artiste dont je m’occupais quand j’habitais à Philadelphie. Comme deux faces de ma carrière.
Doucement les basses ?
C’est grâce à Foufaflow avec qui je rappe.
Ton actu ?
J’ai mon petit restaurant dans le XXe arrondissement de Paris, le Juicy Pop restaurant. Dans la musique je travaille sur des morceaux. Ca arrive !