Comment t’as commencé le rap ?
J’ai de la famille aux Etats-Unis. Il y a une dizaine d’années, alors que j’étais en vacances là-bas, lors d’une soirée chez mon cousin, ça s’est mis à rapper, un peu sur un coup de tête, comme ça spontanément. C’est parti comme ça. En rentrant, je n’ai pas lâché, j’ai écrit un son, deux sons, et tout s’est enchaîné de façon assez classique en fait.
Un moment dans le rap ?
C’est la validation de mes sons par Booba. En 2017 ou 2018, sur mon Insta, il a liké deux ou trois de mes freestyles.
Doucement les Basses ?
La connexion s’est faite par le biais de mon manager. Il m’a proposé de poser dans l’émission, le projet m’a plu, ça s’est fait naturellement.
Ton actu ?
On est en train de tout remettre à plat pour repartir plus fort.