Comment t’as commencé le rap ?
Comme beaucoup, c’est à l’époque du collège, avec les potos, on galérait chez les uns, chez les autres, on s’est mis à rapper, à trouver notre flow petit à petit. On s’est pris au truc. On a fait écouter ce qu’on faisait autour de nous, on a reçu une première validation. Ça donne de la force, on se dit pourquoi pas en faire quelque chose.
Un moment dans le rap ?
C’est en 2008-2009, quand j’ai fait la première partie sur la tournée de Tunisiano qui défendait son album solo. On a fait des dates en France, mais aussi en Belgique, en Suisse. On avait une putain d’équipe et cette expérience, m’a énormément apporté scéniquement, musicalement, professionnellement.
Doucement les basses ?
C’est moi qui les ai contactés après avoir vu la vidéo de El Deter, avec qui on se suit de près. J’ai kiffé le concept. Il est lourd.
Ton actu ?
Ça enregistre. J’ai un EP de près, mais je ne veux pas encore donner de date. On le finalise. Mais bientôt on envoie la foudre.