Comment t’as commencé le rap ?
Au collège. J’avais des grands frères qui ramenaient du rap à la maison, j’ai écouté, j’ai kiffé. Plus le rap français que j’ai bouzillé, que le rap US. J’ai commencé à écrire des trucs vite fait. Puis j’ai continué au lycée, avec un pote qui avait un peu de matos, un micro. On avait un petit groupe, puis j’ai continué solo, influencé par ce que j’écoutais alors Arsenik, la FF, Time Bomb, qui m’inspirent toujours. Je me suis payé une première séance de studio où j’ai rencontré un producteur indépendant, ça m’a permis de sortir mes premiers projets.
Un moment dans le rap ?
Je retiens certains feats que j’ai fait. J’ai bouzillé le rap français, j’écoutais tout et faire des feats avec des mecs que j’écoutais plus jeune, c’était fort. J’ai fait un feat avec Ol’Kainry dans mon premier album, un autre avec Aketo des Sniper. Peut-être que c’est rien pour beaucoup de monde, mais pour moi ca représentait beaucoup. C’était des feats forts.
Doucement les Basses ?
C’est moi qui les ai contactés par Instagram. Je suis tombé sur leur page, j’ai vu les rappeurs kicker, j’ai kiffé. Moi, je sortais un projet en décembre donc on est rentré en contact, ils ont été chauds sur ce que je faisais et voilà.
Ton actu ?
J’ai un double projet qui doit sortir cet été. J’ai des annonces très prochaines à faire, stay tuned !
Propos recueillis par Léo du Bronx
