Comment t’as commencé le rap ?
Un peu comme tout le monde, en suivant mon grand frère. Et j’ai commencé le rap parce que je kiffais le rap. Sa sonorité, sa musicalité, la puissance de ce mouvement. Comme les grands rappaient, ben nous, on suivait l’exemple de nos grands. J’ai posé sur la mix-tape Vitry-Club en 2000 et OGB est le premier à avoir « détecté » mon potentiel. Moi, j’y croyais mais, ça a été un soutien de poids, une bonne motivation pour continuer.
Un moment dans le rap ?
C’est quand j’ai vu mon premier projet, A prendre ou à laisser vol. 1, dans les bacs. Voir son CD, parce qu’on parlait de CD à l’époque, à la FNAC, ça fait quelque chose. C’est un aboutissement. Pas forcément un succès, mais voir son bébé dans les bacs, c’est une belle sensation.
Doucement les Basses
On s’est connecté via Sultan. Dragibus voulait que j’apparaisse sur leur premier titre, mais ça n’a pas pu se faire et j’avais promis d’être sur le second. J’ai tenu parole.
Ton actu ?
On vient de sortir un titre avec Sultan, Leck et AMD. Je prépare des projets, avec une série de freestyle clippée. On avance doucement.
Propos recueillis par Léo du Bronx
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